Le coin des poètes (1)

Les élèves de quatrième vous invitent à venir fleurir leurs arbres à poèmes.
Nous vous encourageons à partager, vous aussi, vos textes poétiques comme les 4A et 4C qui se sont engagés dans cette aventure à cœur ouvert et se sont amusés à dire l’amour en vers. 

Mme Atay


Cœur enflammé, Cœur attristé

Lorsque je t’ai vu mes yeux se sont éblouis,
Devant toi, ta beauté, suis-je en train de rêver ?
Et dans mon cœur renaît un amour passionné,
Cet attachement qui se forme est inouï.

Je me noie dans ton regard, dans ton élégance,
Tu m’enthousiasmes avec ce joli sourire,
Réponds-moi ! Suis-je à la hauteur de te chérir ?
Je mourrais si tu ne m’accordais pas ta confiance.

 Ô désespoir ! Aidez-moi ! Ô dieu que je prie ! 
Oh mon amour ! Mon âme, ma chère ! Où es-tu ?
Hélas, je souffre de ce douloureux mépris ! 

Comment vais-je survivre ? Je suis abattu !
Comment apaiser ma souffrance tyrannique ?
Comment rassurer mon cœur brisé en panique ?

Lina Guinard, 4A


Ô ma chère ! ton absence me désespère !
Tu es partie, pourquoi continuer à vivre ?
Ma bien-aimée, ma douce, seul dans la rue j’ère.
Afin d’oublier ma tristesse, je m’enivre.

Le jour, je rêve seulement que tu reviennes !
La nuit, je ne dors plus, j’attends sans croire que
Tu reviennes, et blottie dans mes bras, sans gêne,
Dans le noir, dans tes rêves tendres tu m’embarques.

Hélas ! je n’ai plus d’espoir, je pleure le soir,
Sans toi, les couleurs fanent, je ne peux les voir.
A présent, tout seul, mon cœur rempli de tristesse,

J’essaye de t’oublier, mourir je me laisse.
Même mort, en souffrant, penser à toi je crains !
Sans vie, sans amour, avec l’atroce chagrin.

Maxence Froissardey, 4A


Je te vis lors de ce crépuscule enchanté,
Tu riais avec un sourire glorieux,
Comme un air mélodieux et harmonieux
Qui m’emmenait un plaisir nouvellement né.

J’ai vu tes yeux reluire d’un soudain désir,
Or, tu ne me considérais point, amoral !
Tu la contemplais avec ton être intégral,
Tout en souriant de plaisir et de bonheur.

Tu l’aimais comme une mère aimant son enfant,
Comme une femme aimant son époux bienveillant,
Comme un fils aimant ses grands-parents clairvoyants.

Tu l’approchas en courant sans aucun glamour,
Et se déclencha un amour étincelant.
Et moi ? Je larmoyais pour mon premier amour.

Doga Baklacioglu, 4A


Aucun mot n’est trop beau et je ne sais pas dire
Le soleil dans ses yeux, la lune dans ses cheveux
Je ne sais comment dire la beauté d’un sourire
Elle éclaire le jour ? Ou elle me rend heureux ?

Aucune fleur jamais n’aura un tel parfum
Regardez la jonquille, le bleuet ou la rose !
J’en ferai un bouquet pour abeilles en essaim
Dès le petit matin que la rosée arrose.

Je dirai aux oiseaux qu’il faut chanter pour elle !
Alors elle comprendra avec la ritournelle
Que mon cœur est épris d’elle pour jamais.

Toutes ses beautés expriment mes sentiments,
Hélas ! je ne sais comment m’ouvrir à elle
Elle, qui est la plus belle de tous les temps.

Abdullah Koçak, 4A

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