Les 6e sont des enchanteurs… (1)

Contes, récits d’aventures, textes argumentatifs… Attention, les 6e sont des enchanteurs qui maîtrisent la langue à merveille. Installez-vous confortablement et laissez la magie opérer !

M. Delemen


Tentation : Tricher

Nous sommes dans une période de l’enseignement à distance et les évaluations se font également en distance. Parfois c’est tentant de regarder dans son cahier les réponses de l’évaluation. Qui faut-il écouter dans ce cas, l’ange ou le démon ?

Le discours de l’Ange 

Il ne faut surtout pas succomber à la tentation. Tout d’abord, parce que ce n’est pas honnête. C’est la même chose que mentir, personne ne te fera plus confiance, si tu mens. Personne n’aime les malhonnêtes.

Puis, quand tu essaies de tromper les autres c’est toi-même que tu trompes. Parce que c’est toi qui ne vas rien apprendre si tu triches, c’est toi qui manqueras de culture générale et ceci ne t’aidera pas dans ta vie future.  Le professeur ne saura jamais ce que tu n’as pas compris et il ne t’expliquera pas tes fautes et tu finiras l’année sans rien apprendre. Donc il faut vraiment que tu résistes à la tentation.

Entre autres, tu ne dois pas choisir la facilité car tu ne fais pas travailler ton cerveau, il ne fonctionnera plus quand tu auras besoin de lui. Si tu ne travailles pas, tu perdras l’habitude de travailler.

Et finalement le plus important à mon avis, ceci ne va jamais être une note méritée. Il faut que tu testes ce que tu vaux vraiment. Le professeur pensera que tu es un très bon élève mais tu sauras en réalité que ce n’est pas vrai et donc tu ne pourras pas dormir tranquillement la nuit. C’est comme une imitation d’une montre de luxe qui n’a de valeur qu’en apparence. Il est donc très important que tu repousses cette tentation.

Le discours du démon 

Ne sois pas bête mon ami ! Tricher c’est la vie. Si tu décides de tricher, ce sera sûrement la meilleure décision de ta vie car tout d’abord, tous les professeurs penseront que tu es un élève superbe, qui travaille bien, qui comprends tout et qui es intelligent… Tu seras donc leur chouchou ! 

Ensuite, pourquoi perdre du temps en travaillant, c’est beaucoup plus facile de regarder les réponses dans le cahier. Il n’y a que les faibles et les naïfs qui ne trichent pas. Pourquoi accepter que les autres soient meilleurs ? Tous les autres élèves vont sûrement céder à la tentation et tricheront. Tu seras donc le seul à être honnête et ta seule récompense sera d’avoir une note moins bien que les autres.    

Finalement en regardant les réponses dans ton cahier, et en les recopiant lors de l’évaluation, tu apprends ton cours en même temps, c’est une façon beaucoup plus pratique de travailler. C’est comme tuer deux oiseaux avec une seule pierre. Ainsi, tu te prépares mieux à la vie, tu apprends à résoudre d’une façon pratique les problèmes que tu rencontres. Donc sois malin et arrête de combattre cette tentation. 

Rüzgar Duyan, 6D

Le petit Ludovic

© Jade Goueth, 6D

Il était une fois dans un comté lointain, un garçon haut comme trois pommes qui se nommait Ludovic. Dans son village, on l’appelait le Petit Ludovic, certes il était petit mais très intelligent. Attendez de voir la suite.

Un beau jour ensoleillé, le Petit Ludovic était en route pour aller rendre visite à son grand-père qui vivait à 4 km du village. En route, le Petit Ludovic eut très soif et dit : « Nom d’une Baleine en cacahouète, pourquoi mon grand-père vit-il si loin ? J’ai si soif que je pourrais avaler un océan entier. » Soudain, son regard se posa sur un puits, il courut plus vite que jamais et atteignit le puits : « Enfin, de l’eau, de l’eau ! » Se dit-il avec un sourire immense. Mais le puits était si profond, que l’on ne pouvait même pas apercevoir le fond. Il se pencha vers le puits, il se pencha encore plus et encore plus et encore plus, BOUM ! Il tomba tans ce puits apparemment infini. Mais heureusement, il avait de quoi manger dans son petit baluchon, un sandwich au cornichon, au saumon et au beurre de cacahuète, MIAM-MIAM.

Cela faisait seulement 5 minutes que notre héros était en chute libre. Il prit un crayon et une feuille de papier, et écrivit son testament. En même temps il tombait à 300 km/h, alors je crois qu’il n’aurait eu aucune chance de réussir à s’en sortir vivant. Pendant sa traversée, il rencontra le Diable en tutu rose qui apprenait la danse classique. Il aperçut aussi un cerbère, un trésor égyptien, et 479 squelettes de dinosaures. 17 heures après, il vit une lueur blanche sous ses pieds : « La liberté ! » Cria t-il. « Mais une seconde après, je vais m’écraser comme une crêpe. » Il cacha ses yeux en espérant arriver au Paradis sans douleur. 

Il jaillit du puits, il ressembla à un oiseau, mais sans ailes, car il retomba comme une comète, pour s’écraser lamentablement comme une crêpe. Heureusement, il tomba dans une baignoire remplie de fleurs en couleur rouge vif. Il ouvrit ses yeux et vit des lanternes rouges partout sur les maisons. Il vit aussi des chinois jouer au tambour et d’autres qui dansaient. Il sentit les bonnes nourritures chinoises et entendit les feux d’artifice dans les airs. C’était le nouvel An chinois ! Il put apercevoir sa tante chinoise, elle s’appelait Mme Wang Wang Le et était une grande détective. Il courut la voir et lui expliqua tout de A à Z. Sa tante dit alors : « Ne t’inquiète pas, tes parents sont tellement occupés à cause de cette crise financière et en plus ils croiront que tu es chez ton papi. Viens plutôt t’amuser, c’est le 7ème jours du nouvel An chinois, chez nous le nouvel An chinois dure 15 jours, trop cool non ? » Le Petit Ludovic répondit oui avec étonnement.

Pendant que Le Petit Ludovic avalait des brioches et des raviolis, un crime épouvantable s’est passé. Le célèbre styliste et artiste M. Xie Long courut vers la tante de Ludovic. Bien sûr il était chaussé d’escarpins en velours noir couvert de cristaux, alors il n’a pas vraiment couru. Il dit alors : « Catastrophe, mon chef d’œuvre a disparu ! Il était grand, beau et pailleté. C’était le dragon majestueux pour la parade de demain ». Puis il finit par pleurer : « Oh non, il faut pas que je pleure mon maquillage va être gâché ». Mme Wang Wang Le dit alors : « On prend l’affaire ! » L’artiste la remercia. La tante de Ludovic, l’artiste et lui même se rendirent sur la scène du crime. Ils virent des paillettes rouges partout : « Ce ne sera pas facile de trouver des indices dans ce Bazard pailleté ». Dit tante Wang Wang Le. « Je sais ! Et si nous regardions les caméras de surveillance, elles nous diront peut-être qui est le voleur en question » dit Le Petit Ludovic. « Bonne idée mon petit neveu » dit tante Wang Wang Le. Et, tous ensemble, ils allèrent dans la salle de surveillance. Ils regardèrent les enregistrements, et virent un monsieur presque aussi bien habillé que M. Xie Long : « C’est le voleur ! Ce petit rancunier, David Lorenzo, sorti 2ème au concours international du meilleur styliste. Il habite à la rue Banini dans le 16ème. Attrapons-le ! » Cria l’artiste Xie Lang avec les yeux remplis de rage. Ils se rendirent ensemble sur place. David Lorenzo les attendait : « Eh bien rebonjour mon pire ennemi » dit-il. « Nous allons nous battre comme de vrais artistes. Un concours de sculpture ».

David construisit un pont paradisiaque, et M. Xie Lang créa une dame chinoise miraculeuse. Mais au moment de les apporter au jury constitué du Petit Ludovic et de sa tante, ils tombèrent à cause d’un rat, et leurs œuvres se collèrent et formèrent une seule œuvre : une chinoise sur un pont fleuri, vous auriez dû voir ça, c’était miraculeux ! Ludovic émerveillé, proposa une idée : « Et si vous créez un duo d’artistes ? ». « C’est une bonne idée ! » dirent les deux artistes. Et ils devinrent vite un duo très célèbre. Et le dragon majestueux de la parade fut sensationnel, car il a été créé par M. Lorenzo et de M. Xie Long. Et le Petit Ludovic rentra chez lui par avion. Il prévoyait d’écrire un livre, mais il m’a confié l’écriture de son livre, car maintenant c’est un détective privé, et il n’a pas le temps d’écrire des livres !

FIN

Jade Goueth, 6D

Luc et la potion magique

Il était une fois un jeune garçon nommé Augustin. Son père et sa mère étaient morts, alors il vivait chez son oncle, avec son cousin Raphaël et sa cousine Juliette. L’oncle d’Augustin était un vieux monsieur très riche, mais handicapé. Quant à Augustin, il n’avait même pas l’argent pour s’acheter du pain… Le seul ami d’Augustin était son chien qu’il avait appelé « Luc ». Luc était très intelligent et très rusé. Mais hélas, ses cousins n’étaient pas gentils et n’aimaient malheureusement pas les animaux. C’est pourquoi Raphaël et Juliette enfermaient toujours Luc dans le grenier. Mais comme Luc était un chien très malin, il trouvait toujours le moyen de s’en échapper. 

Raphaël et Juliette voulaient la mort de leur père pour récupérer sa fortune. Et pour cela ils demandèrent à une méchante sorcière une potion qui servirait à tuer leur père. La sorcière leur donna une recette magique : 
– Vous allez trouver un œil de crapaud, une queue de souris, de la morve d’escargot, une cervelle de singe et vous remuerez soigneusement avec une cuillère et demi de liquide vaisselle et le ferez avaler à la victime.

Les deux frères et sœurs se précipitèrent pour récupérer les ingrédients nécessaires. Au bout d’une semaine, la potion magique était prête. Mais, ils ne savaient pas que Luc, le chien fidèle d’Augustin, avait remplacé la potion magique par un jus de fruit. Le vieux monsieur, assoiffé, but le verre en une seule gorgée. 

Quand Raphaël et Juliette comprirent que la potion magique n’avait pas fonctionné, ils étaient stupéfaits. 
Raphaël : « Mais quand est-ce que cette potion va marcher ? »
Juliette : « Elle n’a pas l’air très efficace, mon frère. »
Raphaël : « Tu penses que nous avons bien utilisé tous les ingrédients comme il le fallait ? »
Juliette : « Oui, c’est surement la sorcière qui s’est moqué de nous ! »

Raphaël et Juliette allèrent aussitôt sonner à la porte de la sorcière pour lui demander de l’aide. Cette fois-ci la sorcière leur donna une potion toute prête. Aussitôt, les deux frères et sœurs se rendirent chez eux et versèrent la potion dans la soupe de leur père. Luc, le chien, sentit l’odeur du poison et changea les assiettes. Il versa la soupe empoisonnée dans les deux tasses des deux frères et sœurs et sauva ainsi le vieux monsieur en tuant ses deux méchants enfants. Augustin était désormais le seul héritier de son oncle et vécut heureux avec celui-ci et son chien, Luc.

Rüzgar Duyan, 6D

Le cœur d’or de la petite Amandine

La petite Amandine – © Jade Goueth, 6D

Il y a fort longtemps, dans une contrée lointaine, vivait une jeune et belle paysanne aux cheveux bruns et à la peau claire et douce, aux lèvres rouges framboises et au cœur d’or. Elle s’appelait Amandine. Elle vivait avec sa famille dans un champ de blé. La récolte du blé ne leur rapportait que 10 francs par mois, et bien sûr ils étaient extrêmement pauvres. Amandine était très mignonne, futée et rusée, elle avait beaucoup d’imagination. 

Comme chaque jeudi, Amandine allait à la ville pour mendier de l’argent, elle donnait la moitié aux pauvres et le reste à sa famille. Elle se déguisait en vieille dame, prenait un pot de cornichons et criait avec une voie rouillée : « Pauvres gens, donnez un peu d’argent à une vielle mendiante ! Je vous en prie ! » Et cela marchait à merveille, Amandine gagna cette fois-ci 30 francs : 10 francs pour les pauvres, 5 francs pour acheter un livre et 15 francs pour sa famille. En rentrant chez elle, Amandine entendit une voie qui venait d’une ruelle sombre et ténébreuse : 
– Viens par ici ma mignonne.
– Qui est-ce ? Me voulez-vous du mal ?
– Non, non, approche. 

Elle s’approcha avec prudence et pénétra dans la ruelle. Elle vit une vieille dame extenuée et tellement vieille qu’on aurait pu la mettre dans un musée. Elle dit :
– Ma petite, j’ai perdu mon cœur.
– Impossible, vous respirez.
– Non ! j’ai perdu la chose la plus chère à mon cœur.
– Mais c’est quoi ?
– Je ne peux pas te le dire, je n’ai pas encore confiance en toi, mais pourrais-tu le récupérer ?
– Oui, c’est où ?
– Au bout de cette ruelle sombre, ténébreuse et mystérieuse. Penses-tu que tu pourras y arriver ?
– Oui, bien sûr, redonner le sourire aux gens est l’une de mes activités préférées.
– Très bien, alors au revoir. 
Et la vieille dame disparut dans un tourbillon de paillettes. C’était extrêmement bizarre, mais Amandine ne fit pas attention. Elle marcha d’un pas assuré, car elle était très curieuse de savoir quelle était la chose dont la vieille dame lui avait parlé. 

Cela faisait 5 minutes qu’elle marchait, et elle rencontra un premier obstacle : c’était un ogre. Elle réfléchit comment faire pour passer sans que l’ogre ne la mange toute crue. Amandine eut une idée. Avec son pot de cornichon, quelques feuilles, des pièces et ses talents d’artiste, elle enroula les pièces avec des feuilles pour faire comme si c’était des cornichons et les donna à l’ogre :
– Bonjour monsieur l’ogre, avant que vous ne me mangiez, voici quelques cornichons pour vous ouvrir l’appétit.
– Miam, j’aime les cornichons !

Il les avala tout entiers et mourut, car il s’étouffa avec les pièces. Elle pleura : « Ouin, j’ai tué un être vivant. » Ses larmes de tristesse étaient dorées, et coulèrent sur l’ogre. Soudain l’ogre se réveilla et se transforma en lutin du père noël :
– Merci, vous m’avez délivré du sortilège de la sorcière Barbela, dit le lutin. 
– De rien, je suis heureuse de vous avoir aidé, répondit-elle en souriant.

Et elle continua son chemin, son deuxième obstacle était un dragon avec une veste très chic et des lunettes de soleil. Il avait les yeux rouges de colère. Elle ravala sa salive et réfléchit à une ruse mais laquelle ? Le flatter, bien sûr :
– Ouah ! Vous avez l’étoffe d’une star.
– Ah bon, qui est-ce ?
– Moi, je suis juste à coté de votre aile gauche.
– Ah oui, j’ai la mode dans le sang mais n’abusez pas.
– Non, mais je ne rigole pas, vous pourriez faire une grande carrière dans la mode, mamma mia c’est parfait.
– Bon si vous le dites, je vais me lancer dans la mode.
Et il partit en volant.

Son troisième obstacle n’était autre que la méchante et sinistre Barbela, la sorcière. Elle lança des boules de feu de sa baguette pour tuer Amandine : 
– Bonjour, je t’ai observée, tu es la prophétie.
– Comment ça ? dit-elle en esquivant une boule de feu.
– Oui, tu as sauvé le lutin de mon sortilège. Tu as corrompu mon dragon incorruptible. Argh, je suis folle de rage.
Elle lança un astéroïde sur Amandine. Et celle-ci l’esquivât de justesse.
– Ce n’est pas ma faute si je veux faire le bien autour de moi.
– Si, c’est ta faute !!!!!!

Elle devait trouver une ruse, sinon elle allait finir en rôti. Elle trouva une bouche d’incendie alors elle trouva un plan. Amandine se mit devant la bouche d’incendie et dit : « Tu ne peux pas me toucher, tu es d’une nullité ! ». Barbela lui lança une boule de feu gigantesque, elle esquivât et la boule de feu toucha la bouche d’incendie, l’eau jaillit de partout :
– Qu’as-tu fait ? Je fonds ! L’eau me fait fondre.
– Oh non, je ne peux pas vous laisser mourir, ce serait indigne de ma part.

Amandine prit l’eau de la sorcière fondue et la mit dans un pot de terre et une fleur poussa. La sorcière s’était réincarnée en une fleur qui pouvait parler.
– Non mais c’est une blague, tu ne pouvais pas me réincarner en un truc plus terrifiant, comme un dragon ou une momie.
– Si vous n’êtes pas contente, faites-moi un procès. le continua son chemin et arriva devant un escalier de nuages. Elle grimpa les escaliers et arriva dans une clairière sur un nuage rose comme de la barbe à papa. Il y avait des fleurs de la verdure, le chant des oiseaux résonnait dans la clairière illuminée par le soleil. Le sol était en barbe à papa, c’était le paradis. Et soudain, des fées apparurent de nulle part, et l’encerclèrent. Des paillettes jaillirent de leur baguette. Les fées dirent toute en chœur :
– Tu es la prophétie. Tu as vaincu la sorcière Barbela. Tu as les larmes réparatrices, tu as un cœur d’or et une grande intelligence.
– Ah bon je n’ai pas tout suivi, pourriez-vous m’expliquer ?
La ministre de la reine des fées s’avança et dit : 
– Je suis la vieille dame de la ruelle, je t’ai testé, et tu as réussi le test avec la meilleure note de tous les temps. Tu es destinée à devenir la reine des fées. En vrai, je suis la fidèle ministre de la reine des fées. Hélas, il y a quelques mois, notre reine a été capturée par Barbela et nous ne l’avions plus jamais revue. Tu dois devenir la reine, sinon les fées des contes de fées n’existeront plus. J’ai cherché pendant des jours une fille comme toi.
– Oui, d’accord. Et ma famille ?
– Elle recevra de l’argent, une grosse somme et tu pourras aller les voir chaque Jour.
– Oui, je veux devenir une fée, aider les autres serait une grande opportunité.

Après quelques années, Amandine est devenue la reine des fées la plus aimable, jolie, gentille et heureuse du monde. Elle aida toutes les personnes en difficulté. Sa devise était : « Le bonheur des gens fait mon bonheur ! ». Et elle vécut avec les fées toute sa vie et tout est bien qui finit bien.

FIN

Jade Goueth, 6D

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